Les amis entrent dans notre vie pour une raison,
une saison ou la vie entière.
Si nous arrivons à déterminer, pour chaque
rencontre, si nous l’avons faite pour une
raison, une saison ou la vie, alors nous saurons
comment réagir envers elle.
- La
personne qui passe
dans notre vie pour
une
RAISON
: C’est généralement
pour combler un besoin que nous exprimons
(consciemment ou non).
Elle est là pour nous aider à traverser des
difficultés, pour nous fournir des pistes, nous
guider ou nous soutenir, pour nous aider
physiquement, émotionnellement ou
spirituellement.
Cela peut nous sembler une aubaine et c’en est
une.
Elle est aussi là parce que nous en avons
besoin. Un jour, sans que nous n’y ayons la
moindre part de responsabilité, cette relation
fera ou dira quelque chose qui brisera le lien!
Peut-être agira-t-elle de telle manière que nous
ne pourrons continuer de cheminer à ses côtés.
Ce que nous devons réaliser alors, c’est que
notre besoin a été comblé, notre désir
satisfait, qu’il n’y a plus de raison de
cheminer ensemble et qu’il devait être temps de
se séparer.
-
La personne qui passe dans notre
vie pour une
SAISON
:
Parce que notre tour est venu de partager,
d’évoluer ou d’apprendre. Elle nous apporte un
sentiment de paix, ou nous fait rire. Il se peut
qu’elle nous fasse découvrir quelque chose de
nouveau, ou nous fasse faire quelque chose dont
nous nous sentions incapable.
Celle-là nous apporte généralement une somme
immense de joies. Mais ce n’est que pour une
saison.
-
Ceux qui sont là pour la
VIE entière
: Ceux-là nous forgent
pour la vie, nous aident à construire nos
bases émotionnelles. Notre tâche est d’accepter
les leçons, d’aimer et de mettre ce que nous
avons reçu et appris, dans les autres relations
qui émaillent notre vie. On dit que l’amour est
aveugle, l’amitié, elle, est clairvoyante.
Merci de faire partie de ma vie!
Ce message a pour but de montrer aux gens qu’on
les aime et de voir combien ils nous le rendent.
Dans tous les cas :
Travaille comme si tu n’avais pas besoin
d’argent.
Aime comme si tu n’avais jamais été blessé(e).
Et danse comme si personne ne te regardait.
Auteur inconnu |