Dans une épicerie
deux femmes
attendent leur tour
de passer à la
caisse.
L'une dit à l'autre
:
"Les enfants sont
paresseux de nos
jours. Ils laissent
toute la maison en
désordre. Je fais
l'impossible pour
eux, et ils ne
peuvent même pas
garder la maison
propre.
Personnellement, ça
m'est plutôt égal,
mais c'est toujours
la femme qu'on
accuse d'être
malpropre."
Une dame qui était
tout près commenta:
"Vous avez de la
chance, madame. Que
j'aimerais rentrer
chez moi et voir
toute la maison en
désordre. Je me
ficherais bien des
commentaires des
gens. La première
chose que je ferais,
j'embrasserais mes
enfants et je leur
dirais combien je
les aime.
Voyez-vous, mes deux
enfants ont été
victimes d'un
accident d'auto, et
je reste seule avec
mon mari. La maison
est très propre,
aucune empreinte de
doigts sur les murs,
ni de taches
mystérieuses sur mes
tapis.
Pas de discussion,
les portes ne
claquent plus, pas
d'éclats de rire ou
de :" Je t'aime,
maman."
Vous avez vraiment
de la chance. Que
j'aimerais être à
votre place pour
tenir mes enfants
dans mes bras,
essuyer leurs larmes
et partager leurs
rêves.
Au milieu de tout
cela, la propreté de
la maison serait mon
dernier souci.
Si seulement je les
avais près de moi."
Maintenant, quand je
rentre à la maison,
et que je vois tout
le désordre, peu
importe ce qu'on
peut penser, je me
sens heureuse.
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