Je lis
davantage et j’époussette moins.
Je m’assois
dans la cour et j’admire le paysage
sans me préoccuper des mauvaises
herbes dans le jardin.
Je consacre
plus de temps à ma famille et à mes
amis et moins de temps au travail.
Le plus souvent
possible, la vie devrait être
composée d’expériences à savourer et
non à endurer. J’essaie maintenant
de reconnaître ces moments et de les
apprécier.
Je ne conserve
rien : j’utilise la vaisselle de
porcelaine et le cristal pour toutes
les occasions.
Je porte ma
meilleure robe pour faire
l’épicerie. J’ai comme théorie que
si j’ai l’air prospère, je peux me
permettre de payer 38.49$ pour un
petit sac d’épicerie.
Je n’économise
pas mon bon parfum pour les grandes
occasions; je le porte pour les
commis de la quincaillerie et les
caissiers et caissières de la
banque.
« Un jour » et
« un de ces jours » sont des mots
que j’ai bannis de mon vocabulaire.
Si c’est
quelque chose qui vaut la peine de
voir, d’entendre ou de faire, je
peux le voir, l’entendre ou le faire
maintenant.
Je ne sais pas
ce que les gens auraient fait s’ils
avaient su qu’ils ne seraient pas là
pour le lendemain que nous tenons
pour acquis. Je crois qu’ils
auraient appelé des membres de leur
famille et quelques bons amis.
Peut-être aussi auraient-ils appelé
d’anciens amis pour s’excuser et
tenter de réparer les pots cassés à
la suite de querelles.
J’aime penser
qu’ils seraient allés prendre un bon
repas au restaurent. J’essaie juste
de deviner, je ne saurai jamais. Ce
sont toutes ces petites choses
laissées de coté qui me fâcheraient
si je savais que mes heures sont
comptées.
Je serais en
colère parce que je n’ai pas écrit
certaines lettres que je me
proposais d’écrire un de ces jours.
En colère et
peinée de ne pas avoir dit assez
souvent à mon mari et aux membres de
ma famille que je les aime.
J’essaie de
toutes mes forces de ne pas remettre
à plus tard ou me priver de faire
des choses qui ajoutent de la gaieté
à nos vies.
Et, chaque
matin quand j’ouvre les yeux, je me
dis que c’est un jour spécial.
Chaque jour, chaque minute, chaque
souffle est vraiment un don de Dieu.
Si vous recevez
ce message, c’est que vous comptez
pour quelqu’un. Si vous êtes trop
occupé pour prendre les quelques
minutes qu’il faut pour transmettre
ce message, est-ce que ce serait la
première fois que vous ne faites pas
la petite chose, qui fera une
différence dans la vie de vos
proches ?
Je peux vous
assurer que ce ne serait
certainement pas la dernière.
Prenez quelques
minutes pour envoyer ce message à
quelques personnes qui vous tiennent
à cœur, juste pour leur laisser
savoir que vous pensez à elles.
Certaines
personnes disent que les vrais amis
doivent toujours se tenir la main,
mais les vrais amis, n’ont pas
besoin de se tenir la main, car ils
savent que l’autre main sera
toujours là. |