JE
LÂCHE PRISE
Accepter
la souffrance ne veut pas dire s’y complaire. Si nous entretenons des
pensées de souffrance, nous pouvons être assurés que nous nous réservons
un avenir douloureux.
Il est d’une importance capitale pour notre vitalité d’admettre
l’émergence de sentiments dits négatifs et de nous permettre de les
exprimer.
Il est aussi d’une importance capitale de voir que cette souffrance est
rattachée au passé et à la peur de l’avenir, et que la libération passe
par l’oubli de ce passé et que par une confiance renouvelée dans
l’avenir.
Dans nos moments de douleur, gardons à l’esprit que nos souffrances
prendront fin quand nous renoncerons à vivre selon les ordres du passé
et que nous mettrons notre foi dans un système de pensée renouvelé.
Même si nous n’arrivons pas à le faire, reconnaissons la possibilité de
cette solution et admettons la nature profondément malléable de notre
esprit.
Ayons foi dans la lumière qui brille toujours au centre de notre être et
qui peut illuminer les chemins les plus sombres de nos jours terrestres.
Ne remettons pas le pouvoir à la souffrance qui nous visite. Ne lui
permettons pas de s’installer à demeure.
Notre réalité est tout autre, ne l’oublions pas.
"Je
cherche la lumière en moi. Je sais qu'elle m'habite en permanence et que
je peux entrer en contact avec elle en tout temps. Aujourd'hui, je
regarde en moi, pour découvrir ce que je retiens du passé, et je suis
prêt(e) à abandonner toutes les vieilles colères et les vieilles
rancunes qui me gardent prisonnier(ère) de la tension et de la douleur".
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