JE SONDE
MES
MOTIVATIONS
PROFONDES
Comme il est
facile de se
mentir à
soi-même !
Ainsi, nous
prenons
quelquefois
des
décisions
importantes,
guidés
seulement
par le
ressentiment
et la peur
d’être
blessés.
Nous ne
voyons pas
les choses
sous cet
angle
cependant.
Nous disons
plutôt que
nous
recherchons
la paix et
que nous
devons nous
protéger.
En fait,
nous nous
isolons et
nous
refusons de
nous
impliquer
par crainte
de souffrir.
Rester assis
chez soi est
réconfortant
et
sécurisant.
Mais, au
bout d’un
certain
temps, nous
nous
enlisons
dans
l’habitude
et nous ne
progressons
plus.
Tout comme
il est
important de
ne pas se
laisser
emporter par
une frénésie
d’activités
irréfléchies,
il est
essentiel de
ne pas
tomber dans
l’autre
extrême qui
consiste à
se replier
sur soi et à
se fermer à
l’extérieur.
Si un temps
d’arrêt
s’avère
parfois
nécessaire
pour voir
clair en
soi, il
convient de
ne pas
prolonger ce
temps
indéfiniment
et de ne pas
faire du
retrait une
habitude et
un confort.
Soyons
honnêtes
envers
nous-mêmes
d’abord et
avant tout.
Sommes-nous
véritablement
sans colère
?
N’avons-nous
pas cessé de
fréquenter
des gens de
valeur par
crainte
d’être mal
jugés et
blessés ?
Nous ne nous
privons pas
d’air, d’eau
et de
nourriture.
Ne nous
privons pas
non plus de
relations
enrichissantes.
" J'examine
avec soin ce
qui motive
mes
décisions de
fréquenter
tel groupe
de personnes
et de me
tenir loin
de tel
autre.
Suis-je
complaisant
avec
moi-même ?
Est-ce que
je cherche à
progresser ?
Quelle part
prend la
peur dans
mes
décisions. "
Copyright (Au Jardin de
l'amitié) © Tous droits réservés
|