JE SUIS SUR LA VOIE DE LA NON DÉPENDANCE


Nous développons parfois des dépendances étranges qui, parce qu’elles ont l’apparence du bien, ont une influence encore plus destructrice sur notre vie.

Ainsi, un musicien peut trouver refuge dans son art au même titre qu’un toxicomane dans sa drogue.

Pour oublier ou nous valoriser, nous pouvons développer des dépendances au travail, ce qu’on appelle « les alcooliques du travail ».

Il peut nous arriver de transformer une pratique religieuse ou spirituelle en une béquille qui, à la longue, nous empêche d’apprendre à marcher seul(e).

Tout comme il était important alors que nous grandissions d’intérioriser l’autorité représentée par nos parents, il est important d’arriver à sentir en nous la présence de la vie qui, avec intelligence et sagesse, nous conduit vers notre plus grand bien.

Toutes les pratiques et tous les livres ne servent qu’à ça : poser le regard de notre conscience sur la présence en nous du fluide de vie auquel nous pouvons donner l’appellation qui nous convient : amour, énergie, puissance supérieure, intelligence universelle, etc.

Ce qui importe, c’est de ressentir sa vibration se propager de notre poitrine jusque dans nos cellules.

Assurément, là se trouve notre lieu de repos suprême, l’endroit où nous dépasserons nos limites humaines pour rejoindre le grand tout auquel nous pourrons enfin nous identifier.

"Je prends soin d’intérioriser l’aide que je vais chercher à l’extérieur. Je sais que ces aides sont là pour me brancher sur ce que je possède depuis toujours. Ils sont des guides que je quitterai quand j’aurai appris ce qu’ils ont à m’enseigner."