Quand on
commence à
s'aimer, la vie
s'améliore un
peu plus chaque
jour de façon
surprenante.
Nous nous
cachons bien
souvent à
nous-mêmes, si
bien que nous ne
nous connaissons
même pas. On ne
sait pas qui on
est, on ne sait
pas ce que l'on
veut. La vie est
un voyage menant
à la découverte
de soi-même.
Être « éveillé »
signifie pour
moi rentrer en
soi, comprendre
qui et ce que
l'on est
réellement, et
savoir que l'on
a la capacité de
s'améliorer en
s'aimant et en
prenant soin de
soi. Il n'est
pas égoïste de
s'aimer. Cela
nous permet au
contraire
d'aimer les
autres.
Acceptons toutes
les différentes
parties de
nous-mêmes - les
manies, les
petits défauts,
les
imperfections,
ainsi que les
merveilleuses
qualités.
Nous sommes
responsables de
notre vie. Cet
amour commence
par soi. « Aime
ton prochain
comme toi-même
», dit la Bible.
Trop souvent,
nous oublions
cette dernière
partie : « comme
toi-même ».
Établir la paix
en soi; paix,
compréhension,
compassion,
pardon et,
surtout, amour.
Quand nous
élargissons nos
pensées et nos
croyances, notre
amour s'écoule
librement. Quand
nous nous
crispons, nous
nous coupons du
monde.
Le
pouvoir
intérieur
Plus vous vous
reliez à votre
Pouvoir
intérieur, plus
vous vous
libérez.
Mais que
signifie rentrer
en soi ? Avant
tout, avoir la
conviction que
c'est possible.
Ensuite, nous
devons être
disposés à
abandonner les
schémas qui
créent des
conditions
d'existence que
nous jugeons
indésirables.
Nous y parvenons
en rentrant en
nous pour puiser
à ce Pouvoir
intérieur qui
sait déjà ce qui
est le mieux
pour nous. Si
nous sommes
prêts à nous
abandonner à ce
Pouvoir en nous,
ce Pouvoir qui
nous aime et
nous assiste,
notre vie peut
s'en trouver
grandement
enrichie.
J'ai la
conviction que
notre esprit est
constamment
relié à l'Esprit
infini et que
par conséquence,
il a accès en
permanence à
toute la
connaissance et
la sagesse. Nous
sommes reliés à
cet Esprit
infini, ce
Pouvoir
universel qui
nous a créés, à
travers cette
étincelle de
lumière en nous,
notre Conscience
supérieure ou
Pouvoir
intérieur.
Il est important
de s'en remettre
à notre
Conscience
supérieure car,
à travers Elle,
nous recevons
notre « bien ».
Si nous
choisissons de
vivre dans le
passé en
ressassant
toutes les
situations
négatives que
nous avons
traversées,
alors nous
restons figés.
En revanche, si
nous prenons la
décision
consciente de ne
pas être
victimes du
passé et de nous
créer une vie
nouvelle, alors
nous serons
aidés par ce
Pouvoir
intérieur, et de
nouvelles
expériences,
plus heureuses
celles-ci, se
présenteront à
nous. Il est
trop facile de
reporter la
faute sur les
autres. En
réalité, nous
sommes seuls en
cause. QUEL EST
NOTRE CHOIX ?
La
responsabilité
ou le blâme
Nos pensées
créent nos
émotions, et
nous commençons
alors à vivre en
accord avec ces
émotions et
croyances. Nous
ne devons par
pour autant nous
accuser de nos
revers de
fortune. Il y a
une différence
entre être
responsable et
jeter le blâme
sur soi ou les
autres.
Quand je parle
de
responsabilité,
je parle en
réalité du
pouvoir. Blâmer
équivaut à
renoncer à son
pouvoir. Être
responsable nous
donne le pouvoir
d'opérer des
changements dans
notre vie. Si
nous jouons le
rôle de la
victime, alors
nous utilisons
notre pouvoir
personnel pour
nous entraver.
Si nous sommes
capables de
considérer nos
problèmes et nos
mal-être comme
des occasions de
modifier notre
vie, nous
détenons le
Pouvoir.
Nombreux sont
ceux qui, après
avoir triomphé
d'une grave
maladie,
affirment que
cette épreuve a
été pour eux la
plus belle chose
qui leur soit
jamais arrivée,
car elle leur a
permis
d'envisager leur
vie
différemment.
Tous les
évènements
survenus dans
notre vie
jusqu'à ce jour
ont été créés
par vos pensées
et croyances du
passé. Ne soyez
pas honteux de
ce passé.
Considérez-le
plutôt faisant
partie de la
richesse et de
l'épanouissement
de votre
existence. Sans
cette richesse,
sans cet
épanouissement,
nous ne serions
pas là
aujourd'hui.
Vous n'avez
aucune raison de
vous reprocher
ce que vous avez
fait. Vous avez
agi au mieux,
sur le moment.
Libérez le passé
dans l'amour et
remerciez-le de
vous avoir
ouvert à cette
nouvelle
conscience. Nous
ne pouvons rien
faire demain et
nous ne pouvons
rien faire hier.
Nous ne pouvons
agir
qu'aujourd'hui.
Seul compte ce
que l'on choisit
de penser, de
croire et de
dire à l'instant
même.
Le mental ne
vous contrôle
pas. C'est vous
qui le
contrôlez, La
Conscience
supérieure tient
les rênes. Vous
pouvez stopper
vos vieux
schémas mentaux.
Quand ils
essaient de
refaire surface
pour vous dire :
« C'est
tellement
difficile de
changer »,
adressez-leur un
ordre. Dites à
votre mental : «
Je choisis
maintenant de
croire qu'il
m'est facile de
me transformer
».
Imaginez vos
pensées comme
des gouttes
d'eau. Une
pensée ou une
goutte n'a pas
grande
importance. Mais
tandis que vous
répétez ces
pensées, encore
et encore, vous
remarquerez
d'abord une
tâche sur la
moquette, puis
une petite
flaque, ensuite
une mare et, à
mesure que se
déversent ces
pensées, elles
deviennent un
lac et enfin un
océan. Quel
genre d'océan
êtes-vous en
train de créer ?
Un océan pollué,
toxique, dans
lequel il est
impossible de se
baigner, ou un
océan bleu,
clair comme le
cristal, qui
vous invite à
vous prélasser
dans ses eaux
rafraîchissantes
?
Une fois de
plus, il n'est
pas nécessaire
de combattre vos
pensées.
Reconnaissez-les
et dépassez-les.
Ne vous noyez
pas dans le
verre d'eau de
votre propre
négativité.
Faites confiance
au Pouvoir en
vous.
Sous l'empire de
la peur, il est
utile de prendre
conscience de
votre souffle
qui entre et qui
sort de votre
corps. Le
souffle, la
substance la
plus précieuse
de la vie, vous
est offert sans
restriction.
Vous n'en
manquerez jamais
tant que vous
vivrez. Rentrez
en vous et
découvrez qui
vous êtes.
Vous devez
prendre contact
avec votre guide
intérieur car il
est la sagesse
qui connaît les
réponses pour
vous. Chaque
fois que vous
dites « je ne
sais pas », vous
fermez la porte
à votre sagesse
intérieure.
Soutenez-vous
vous-même en
prenant les
bonnes
décisions. Si
vous doutez,
demandez-vous :
« Est-ce une
bonne décision
qui m'aidera ?
Répond-elle à ce
que j'attends en
ce moment ? »
Vous adopterez
peut-être une
autre position
plus tard, dans
un jour, une
semaine ou un
mois. Mais
posez-vous ces
questions à
chaque instant.
À mesure que
nous apprenons à
nous aimer et à
faire confiance
à notre Pouvoir
supérieur, nous
devenons co-créateurs,
avec l'Esprit
infini, d'un
monde d'amour.
Cet amour pour
nous-mêmes nous
aide, de
victimes, à
devenir
vainqueurs.
On ne comprend
peut-être pas
tout avec notre
mental humain
limité;
toutefois, au
niveau cosmique,
nous savons que
nous sommes au
bon endroit, au
bon moment, et
que nous faisons
ce que nous
devons faire.
Qui êtes-vous ?
Qu'êtes-vous
venu apprendre
ici ?
Qu'êtes-vous
venu enseigner ?
Nous avons tous
un objectif
unique. Nous
sommes bien plus
que notre
personnalité,
nos problèmes,
nos craintes,
nos maladies.
Nous sommes bien
plus que notre
corps. Chacun de
nous est lié aux
autres et à la
vie, dans toutes
ses
manifestations.
Nous sommes tous
esprit, lumière,
énergie,
vibration et
amour, et nous
avons tous le
pouvoir de
donner un but et
une
signification à
notre existence.
J'écoute
ma voix
intérieure
Les pensées que
nous choisissons
d'entretenir en
nous sont les
instruments qui
nous servent à
tisser la trame
de notre vie.
Au fil des ans,
j'ai appris à
écouter cette
partie intuitive
en moi que l'on
nomme « voix
intérieure »,
car lorsqu'elle
me dit « oui »,
même si le choix
me semble
absurde, je sais
qu'il est
opportun pour
moi.
En ce temps-là,
je me plaignais
de tout et me
complaisait à
m'apitoyer sur
mon sort. Je
prenais plaisir
à me vautrer
dans mes
malheurs.
J'ignorais que
j'appelais ainsi
continuellement
d'autres
expériences
propres à
satisfaire ce
besoin de
geindre. Peu à
peu, je
m'aperçus que je
me plaignais
plus aussi
souvent.
Je me mis à
écouter ce que
je disais. Je
devins
consciente de
mes
autocritiques et
tentai d'y
mettre un terme.
Je commençai à
dire des
affirmations
sans trop savoir
ce qu'elles
signifiaient. Je
débutai avec les
faciles, et de
petits
changements
s'installèrent.
Je trouve
intéressant
d'apprendre où,
dans notre
corps, nous
plaçons nos
cancers. Le côté
droit représente
l'aspect
masculin -
l'émetteur. Le
gauche est
l'aspect féminin
- le récepteur.
Je me rendais
compte que je ne
progressais pas
autant que je le
souhaitais; je
n'avais pas
encore vraiment
« vidé les
poubelles ». Il
fallait que je
reconnaisse
l'enfant en moi
et que je
travaille avec
lui. Mon enfant
intérieur avait
besoin de moi
car il souffrait
encore beaucoup.
Je pratiquai la
méthode des
affirmations et
de la
visualisation,
et m'imposais
des « cures
spirituelles ».
Je m'installais
régulièrement
devant un
miroir. Les mots
les plus
difficiles à
prononcer
étaient : « Je
t'aime, je
t'aime vraiment
». J'ai passé de
longs moments à
m'acharner sur
des oreillers et
à crier.
Je me remerciais
avant de
m'endormir pour
ce que j'avais
fait au cours de
la journée.
J'affirmais que
le processus de
guérison se
poursuivait dans
mon corps
pendant mon
sommeil et que
je me
réveillerais au
matin en pleine
forme. Au
réveil, je me
remerciais et
remerciais mon
corps pour le
travail accompli
durant la nuit.
Je formulais
l'affirmation
que j'avais le
désir de
grandir,
d'apprendre un
peu plus chaque
jour et de me
transformer sans
me considérer
comme un
personne
méprisable.
Ma mère avait
été élevée dans
l'esprit où
l'homme à
toujours raison
et la femme se
doit de ne pas
intervenir dans
ses décisions.
Plus je
pardonnais à mes
parents, plus il
me devenait
possible de me
pardonner. Se
pardonner
soi-même est
extrêmement
important. À
mesure que je me
pardonnais, ma
confiance en moi
grandissait. Je
découvris que si
l'on ne fait pas
confiance à la
vie ou aux
autres, c'est en
réalité un
manque de
confiance en
soi.
Une fois que
l'on commence à
établir la paix
en soi, la vie
s'écoule bien
plus
agréablement.
Que m'a enseigné
cette expérience
sur le plan
personnel ? J'ai
pris conscience
que j'avais le
pouvoir de
modifier ma vie
si j'étais
disposée à
modifier mon
attitude mentale
et me libérer
des schémas qui
me confinaient
dans le passé.
Ne vous
reprochez pas de
ne pas
progresser plus
vite, de ne pas
faire mieux.
Dites-vous : «
Je fais mon
possible et même
si je suis dans
de sales draps
en ce moment, je
m'en sortirai de
toute façon,
alors autant
trouver le
meilleur moyen
de le faire. »
Si vous vous
contentez de
vous traiter
d'imbécile et
d'incapable,
vous resterez
coincé. Si vous
voulez changer,
stimulez-vous
avec amour.
Le
pouvoir de la
parole
Chaque jour,
affirmez pour
vous-même ce que
vous attendez de
la vie.
Affirmez-le
comme si vous le
possédiez déjà !
La
loi de l'esprit
Il existe aussi
des lois
spirituelles,
comme la loi du
cause à effet :
tout ce que vous
émettez vous
revient. De
sorte, si l'on
filtre ses
propos en
écoutant ce que
l'on dit, sans
rien laisser de
négatif franchir
ses lèvres, on
peut alors
commencer à
façonner ses
pensées.
Nos parents,
pour la majorité
d'entre nous,
nous
reprochaient
continuellement
notre bêtise,
notre paresse,
notre manque de
bon sens.
Parfois même,
nous les
entendions
exprimer leurs
regrets de nous
avoir mis au
monde. Nous
ignorions,
naturellement,
que la douleur
et l'amertume
s'enracineraient
aussi
profondément en
nous.
Modifier
notre monologue
intérieur
Les mots que
nous prononçons
sont le
prolongement de
nos pensées.
Très nombreux
sont ceux qui
emploient sans
cesse le verbe «
devoir ». Il
n'est pas rare
que quelqu'un
emploie ce verbe
une douzaine de
fois en quelques
minutes. Et la
même personne se
demande pourquoi
sa vie est si
rigide ou pour
quelle raison
elle ne peut se
sortir d'une
situation
fâcheuse. Et
après, elle se
demande pourquoi
elle ne connaît
pas la liberté.
On peut rayer de
notre
vocabulaire
l'expression «
il faut que ».
Cela nous
libérera d'une
bonne partie de
la tension que
nous nous
imposons. On se
crée un stress
insupportable en
disant : « il
faut que ». À
cette
expression,
préférons le
verbe « choisir
». Beaucoup
utilisent aussi
le vocable «
mais ». Nous
affirmons
quelque chose,
et puis nous
glissons un mais
qui nous
aiguillons sur
deux directions
différentes.
Nous nous
adressons des
messages
contradictoires.
Une autre
expression que
nous devons
employer avec
parcimonie est
le : « N’oubliez
pas ». Que se
passe-t-il ? On
oublie. Alors
autant remplacer
ce « n'oubliez
pas » par «
souvenez-vous ».
Quand vous vous
réveillez le
matin,
pestez-vous à
l'idée de devoir
aller travailler
? Maugréez-vous
contre vos
douleurs de dos
ou de migraine ?
De quelle
manière ces
propos
colorent-ils
votre journée ?
Est-ce joyeux,
positif,
agréable ? Ou
bien est-ce
geignard et
lourd de
reproches ? Si
vous grognez,
protestez et
gémissez, vous
avez de grandes
chances de vivre
une journée dans
la grisaille.
Quelles sont vos
dernières
pensées avant de
vous coucher ?
De puissantes
pensées de
guérison, ou
bien songez-vous
à vos infortunes
? Vous
souciez-vous du
lendemain ? En
général, je lis
quelque chose de
positif avant de
m'endormir. J'ai
conscience qu'il
se produit
pendant mon
sommeil une
importante
épuration qui me
prépare pour la
journée à venir.
Vous êtes la
seule personne à
pouvoir penser
dans votre tête.
Surveillez vos
paroles et vos
pensées, et
pardonnez-vous
constamment vos
imperfections.
Le subconscient
n'a aucun sens
de l'humour, et
il est très
important de
connaître et de
comprendre ce
concept. Vous ne
pouvez pas vous
prendre pour
cible d'une
plaisanterie et
n'y attacher
aucune
signification.
Si vous vous
dépréciez, même
sous couvert
d'humour, le
subconscient le
prendra pour
argent comptant.
Ne vous moquez
pas des autres
non plus, le
subconscient ne
sait pas
distinguer entre
vous et les
autres. Il
entend les
paroles et il
pense que vous
parlez de
vous-même. La
prochaine fois
que vous
souhaitez
critiquer
quelqu'un,
demandez-vous
pourquoi vous
éprouvez la même
chose quant à
vous. Vous voyez
uniquement chez
les autres ce
que vous voyez
en vous-même.
Remarquez la
façon dont
s’expriment les
gens seuls,
malheureux,
indigents ou
malades. Car si
vous changez
votre langage,
vos expériences
vont changer,
elles aussi.
Beaucoup de gens
se sentent en
sécurité que
dans la maladie.
Ils
appartiennent
généralement à
une catégorie de
personnes ayant
du mal à dire «
NON ». La seule
façon dont ils
peuvent dire NON
est en
prétextant : «
Je suis trop
malade pour le
faire ».
Vous êtes la
seule personne
qui pouvez
opérez un
changement dans
votre vie.
Reprogrammez
les vieux
enregistrements
Soyez prêt à
faire le premier
pas, si petit
soit-il.
Concentrez-vous
sur le fait que
vous désirez
apprendre. De
véritables
miracles
surviendront.
Les affirmations
sont vraiment
efficaces
J'ai découvert
que, si votre
vie comporte une
chose que vous
n'aimez pas, la
façon la plus
radicale de vous
en affranchir
est de la bénir
avec amour. « Je
te bénis avec
amour, je te
libère et te
laisse partir. »
Vous méritez ce
qui est bon pour
vous
Réfléchissez une
minute. Que
désirez-vous
vraiment à cet
instant ? Que
désirez-vous
aujourd'hui même
dans votre
existence ?
Pensez-y puis
déclarez : «
J'accepte pour
moi-même______ »
(ce que vous
désirez). C'est
à cet endroit,
j'ai pu m'en
rendre compte,
que, pour la
plupart, nous
bloquons.
Le noeud du
problème est de
croire que nous
ne méritons pas
ce que nous
désirons. Notre
« non-droit » au
mérite vient des
messages de
notre enfance.
Souvent, les
gens me disent :
« Louise, les
affirmations ne
marchent pas ».
En fait, les
affirmations n'y
sont pour rien;
au fond de vous,
vous vous croyez
indigne de ce
qui est bon pour
vous.
Pour savoir si
vous pensez
mériter quelque
chose, prononcez
une affirmation
et notez les
pensées qui
surgissent.
Écrivez-les car,
une fois
qu'elles seront
posées sur
papier, elles
vous
apparaîtront
très clairement.
Le seul obstacle
au fait de vous
trouver
méritant, ou de
vous aimer, est
l'opinion de
quelqu'un
d'autre que vous
avez acceptée
pour vérité.
Vous pouvez
commencer avec
de bonnes
pensées telles
que :
« J'ai du mérite
» - « Je m'aime
» - « Je
m'autorise à
être comblé ».
Ces concepts
sont la base
même de vos
croyances, base
à laquelle vous
pouvez
construire.
Utilisez-les
comme des
fondations pour
vos affirmations
afin de créer ce
que vous
souhaitez.
Quand nous ne
sommes pas prêts
à nous
abandonner, que
nous nous
accrochons
délibérément à
quelque chose
qui nous est
utile d'une
manière ou d'une
autre, quoi que
nous fassions,
nos efforts
demeureront
probablement
vains. Mais si
nous sommes
disposés à
LÂCHER PRISE, la
circonstance la
plus anodine
peut se révéler
favorable pour
nous libérer.
Passer commande
à la cuisine
cosmique
La première fois
que vous
formulez une
affirmation,
elle sonne
peut-être faux.
Mais
rappelez-vous
que les
affirmations
sont comme des
graines. Si vous
plantez une
graine en terre,
vous
n'obtiendrez pas
une fleur le
lendemain. Vous
devrez vous
armer de
patience pendant
qu'elle pousse.
Formulez
toujours vos
affirmations au
présent.
Auteur
: Louise L. Hay
Tiré du Livre :
"Ce pouvoir en
vous" Édition du
Roseau
Vous trouverez
des affirmations
sur le site
ICI |