par Denise Baxter

Traduit de l’anglais par Claude Richard

Après avoir fait plusieurs recherches, ce livre n’est pas, et ne sera pas réimprimé… peut-être parce que cela rejoint tout de même beaucoup les cours que j’ai déjà suivi avec Christiane Muller et Kaya, son mari, ainsi que les livres de Doreen Virtue et de Joanne Flansburry qui sont maintenant les auteures à succès.

Je tiens tout de même à vous faire connaître ce petit livre, car il est très intéressant.

Yvette Lunalou

 

Musique qui accompagne cette rubrique : "Sérénité" de Michel Pépé - Album "Les perles du coeur"

     Les Anges sont effectivement partout autour de nous. Venez connaître et pénétrer ce monde éthéré qui outrepasse la dimension physique, où vous rencontrerez l’être que Dieu vous a envoyé, à vous seul, votre Ange gardien.

     La première partie du voyage vous donnera un aperçu du monde des Anges et de sa longue histoire. Vous visiterez un paradis rempli de messagers divins, véritable armée de Dieu.

     Vous lirez aussi les récits de cas vécus, de personnes qui ont profité de la générosité des Anges et qui savent à quel point ils peuvent opérer de véritables miracles pour nous, les humains.

 

Cette nuit, en effet, un Ange de Dieu à qui j’appartiens et que je sers s’est approché de moi et m’a dit: « N’aie pas peur… »
                                                                                             Actes 27, 23-24

      Les Anges se cachent sous diverses apparences.

     Catherine approchait de la cinquantaine et de la ménopause lorsque débutèrent ses problèmes de santé. En février 1993, par une journée froide et neigeuse, son gynécologue lui annonça qu’un fibrome sur l’utérus avait atteint la taille d’un pamplemousse et qu’elle devait subir une hystérectomie. À cause d’un risque de cancer, il fallait procéder à l’ablation de l’utérus le plus tôt possible.

     La nouvelle ne l’enthousiasmait guère même si, en son for intérieur, elle n’était pas totalement convaincue de la nécessité d’une telle intervention. Elle donna quand même son accord et on fixa la date de l’opération à quatre semaines plus tard.

     Elle avait déjà subi deux opérations chirurgicales par le passé, mais celle-ci la tourmentait; elle priait Dieu chaque soir, lui demandant la force et le courage nécessaires.

     Depuis bon nombre d’années, son médecin de famille surveillait de près sa numération globulaire et lui avait prescrit plus d’une fois des suppléments de fer pour combattre une anémie chronique. Lors de la dernière visite de Catherine, trois mois plus tôt, ses globules rouges présentaient un aspect normal. Elle passa donc sans encombre l’examen préopératoire et fut admise à la clinique à la mi-mars.

     Peu après son arrivée, alors qu’elle relaxait au son de la musique, une infirmière la dérangea pour prélever un échantillon de son sang. Catherine se remit à prier et, quinze minutes plus tard, on dut procéder à un deuxième prélèvement. Malgré ses inquiétudes, on lui affirma que tout était en ordre et un sédatif lui assura un sommeil paisible.

     Tôt le lendemain matin, son gynécologique vint lui annoncer que les tests sanguins de la veille révélaient une anémie sérieuse, mais que rien n’était à craindre parce qu’elle recevrait une transfusion sanguine pendant l’intervention chirurgicale. Catherine était très inquiète, sachant pertinemment que l’anesthésie présentait des risques de complications postopératoires chez les personnes anémiques.

     Elle voulut retarder l’opération jusqu’au moment où sa numération globulaire serait revenue à la normale. Le chirurgien ne voulut rien entendre, prétextant que l’intervention était des plus urgentes et contribuerait à mettre fin au flux sanguin excessif qui causait l’anémie. Mais Catherine ne pouvait supporter l’idée d’une transfusion sanguine.

     Plus elle insistait et défendait son point de vue et plus le chirurgien se dressait contre elle et essayait de la contraindre à accepter.

     Pendant l’altercation, une infirmière fit irruption dans la chambre de Catherine pour une visite de routine. Tout en tapotant l’oreiller, elle lui chuchota à l’oreille : « Ne l’écoutez pas, faites à votre tête », et elle quitta en douce.

     Le chirurgien fit remarquer à Catherine que la salle d’opération lui était réservée, qu’elle ne pouvait se désister; d’ailleurs, personne ne le faisait jamais à un stade aussi avancé. Catherine se demandait vraiment si le chirurgien n’accordait pas plus d’importance à sa réputation qu’à sa patiente. Alors que la querelle s’envenimait, la même infirmière se pointa de nouveau pour réarranger les draps qui, soit dit en passant, n’en avaient nullement besoin. Elle lui répéta discrètement les mêmes mots : « Ne l’écoutez pas, faites à votre tête. »

     Faisant appel à tout son courage, Catherine objecta que son corps lui appartenait, ainsi que la décision finale. Le chirurgien quitta la chambre en furie. Catherine retourna peu après chez elle, non sans avoir essayé de retrouver l’infirmière, mais en vain. Elle questionna l’infirmière en chef qui lui dit que personne ne répondait à la description qu’elle en faisait.

     Encore aujourd’hui, Catherine demeure convaincue qu’un Ange lui a rendu visite pour la supporter et l’aider dans sa prise de décision. Elle vint d’abord à bout de son anémie, puis consulta un autre gynécologue. Selon ce dernier, un simple curetage utérin était suffisant. C’est ainsi qu’on procéda à cette intervention beaucoup moins risquée quelques mois plus tard. Catherine se porte merveilleusement bien depuis ce temps.

     Déjà, à l’âge de 29 ans, Michel avait surmonté de nombreux obstacles dans sa vie, au point où sa foi en Dieu en était sérieusement ébranlée. Il n’avait que 19 ans lorsque sa mère est décédée des suites d’une sclérose en plaques.

     Une journée d’automne, alors qu’il complétait sa dernière année d’études collégiales, il aida son père à tailler les arbustes du jardin. Une fois le travail terminé, il avoua se sentir « bizarre ». Tout un côté de son corps demeurait insensible.

     Son père ne connaissait que trop la signification de ce symptôme. Puis les évènements s’enchaînèrent : la visite du médecin de famille, les tests neurologiques à l’hôpital et le diagnostic d’une sclérose en plaques qui conformait les craintes du père. Les antécédents familiaux obligèrent le médecin à mettre Michel en garde : la maladie pourrait se développer rapidement et Michel devrait peut-être cesser ses études.

     La réaction première du jeune homme en fut une de colère dirigée vers Dieu. Puis il décida de défier l’opinion médicale et les statistiques. Il se mit alors à lire tout ce qui concernait cette terrible maladie; il changea aussi son régime alimentaire de façon drastique et s’engagea dans un programme d’exercices physiques. Il obtint son diplôme et poursuivit ses études. Les premiers symptômes s’estompèrent. Son père et ses deux sœurs priaient pour lui constamment, tout en souhaitant qu’il s’en remette de nouveau aux bonnes grâces de Dieu; mais son acrimonie persistait.

     Michel se maria quelques années plus tard. Il dut cependant faire face à la dure réalité économique des années 90 et il se retrouva sans emploi stable; il dut assurer sa survie au moyen de menus travaux. Comble de malheur, sa femme le quitta après lui avoir avoué ses tendances lesbiennes. Devant tant d’infortune, il suivit l’exemple de tant d’autres personnes et se remit à la prière. Son agressivité et son état dépressif lui nuisaient beaucoup. Il s’en rendit vite compte et un professionnel l’aida à canaliser ses énergies de façon plus positive.

     Environ une année s’était écoulée lorsqu’on lui parla d’une dame qui donnait des conférences sur la manière d’entrer en contact avec les Anges. Mû par la curiosité plus que par la conviction, Michel assista à une de ces causeries. On lui enseigna une série d’exercices à faire pour établir un contact par la prière. Toujours poussé par les mêmes raisons, il décida de tenter un premier essai.

     S’adressant à son ange gardien, il lui dit : « Tout ce que je souhaite, c’est un travail convenable qui me permette de redonner un sens à ma vie ». Le lendemain, le représentant d’une grande entreprise où il avait fait application quelques mois plus tôt, l’appela. Michel se vit offrir l’emploi tant désiré qu’il n’espérait plus.

     Michel recouvra la foi. Il comprit que toutes les embûches de la vie n’ont qu’une raison d’être : nous aider à nous améliorer. Il fait maintenant appel aux Anges régulièrement, convaincu qu’ils tiennent sa maladie en échec.

     Marie est une journaliste de 39 ans à l’emploi d’une publication importante; son esprit cartésien et son genre de travail la confrontent continuellement à la réalité. Élevée dans la religion catholique dont elle avait délaissé la pratique à l’adolescence, elle n’en continuait pas moins de prier de temps à autre. Lorsqu’elle s’aperçut que son mariage d’une douzaine d’années allait s’effondrer, elle fut envahie par la peur et le découragement. Elle s’adonna alors plus souvent à la prière, sans grand espoir de réponse.

     Une bataille légale féroce la jeta hors de sa maison au profit de son ex-mari. Elle était terrorisée. Aux abois, elle se rappela soudain un livre sur les Anges, qu’elle avait feuilleté rapidement mais qui ne l’avait pas convaincue de leur existence. Néanmoins, elle décida de s’enquérir plus avant sur ce phénomène. Ses recherches la conduisirent à un homme qui lui avoua ses contacts fréquents avec les Anges.

     Il devint son guide. Après quelques tentatives, Marie vit un Ange qui lui déclara être envoyé pour l’aider, en réponse à ses prières.

     Peu après, Marie trouvait un logement à son goût où elle s’est empressée de déménager. Tous ses problèmes ne sont pas réglés pour autant, mais elle sait que son Ange est tout près.

     Émilie n’avait que huit ans lorsque sa grand-mère maternelle est décédée subitement. Malgré l’appui de ses parents pour l’aider à surmonter cette épreuve, Émilie se mit à connaître une peur grandissante pour toutes sortes de choses. Sa plus grande crainte était elle du noir et, la plupart du temps, elle s’endormait en pleurant.

     Chaque soir, sa mère lui parlait doucement en l’encourageant et laissait une lampe allumée pour qu’elle puisse s’endormir facilement. Mais Émilie parlait à sa grand-mère, la suppliant de revenir.

     Aujourd’hui, âgée de près de cinquante ans, Émilie se souvient encore très clairement des évènements survenus une nuit, environ un an après la mort de sa grand-mère.

     Elle se rappelle être moins craintive ce soir-là, à la perspective d’une autre nuit seule dans sa chambre. Soudain, elle vit apparaître un Ange vêtu de blanc, tellement éblouissant qu’elle en avait mal aux yeux. Il la réconforta et lui déclara que sa grand-mère était heureuse au ciel. Puis sa grand-mère lui apparut, l’espace d’un instant. La dame lui sourit en lui disant qu’elle n’avait plus aucune raison de craindre quoi que ce soit parce qu’elle veillait désormais sur elle. Émilie se sentit alors envahie par un grand calme.

     Toutes ses craintes s’envolèrent mystérieusement cette même nuit. Émilie s’empressa de raconter l’incident à ses parents qui ne crurent qu’au fruit de son imagination. Ils n’en demeuraient pas moins ravis que leur fille ait réussi à calmer ses peurs.

     Une des histoires les plus étonnantes qui existent, survenue le 16 mai 1986, défie toute logique humaine.

     On adapta le récit de l’incident pour la télévision, arguant qu’il appartenait au domaine de l’inexpliqué.

     Lors de cette journée fatidique, un déséquilibré et sa famille envahirent l’école primaire de Cokeville, dans l’était du Wyoming, et prirent 156 écoliers en otages. Ce dément avait une carabine en sa possession et menaçait de s’en servir pour massacrer les enfants à tour de rôle. Il n’eut pas le loisir de mettre sa menace à exécution car il cachait aussi une bombe qui finit par exploser. L’École se transforma en véritable brasier sous les yeux ahuris des parents et professeurs.

     Après avoir maîtrisé l’incendie, les pompiers se mirent à fouiller les décombres à la recherche de corps calcinés. Mais ce fut l’étonnement général : aucun enfant n’avait été tué, ni même blessé. Certains avaient entendu des voix, d’autres avaient vu des Êtres de Lumière qui leur avaient dit comment se protéger et éviter l’explosion. Aucun, toutefois, n’avait été effrayé par ces visons.

     Les artificiers ne purent expliquer cet extraordinaire évènement autrement que par le mot « miracle ». Tous les témoins de la scène s’accordaient à dire que Dieu avait envoyé des Anges pour épargner la vie de tous ces enfants.

 

 

 

- Prologue -

- PARTIE I  : Les anges qui nous entourent -

Chapitre 1 - Cas vécus

Chapitre 2 – La hiérarchie des Anges

Chapitre 3 – Les Anges gardiens

- PARTIE II : Comment demander à votre ange gardien de la bonne façon -

Chapitre 4 – La préparation

Chapitre 5 – La bonne façon de communiquer avec votre Ange gardien

- PARTIE III : Comment développer son aptitude à communiquer -

Chapitre 6 – Quoi demander

Chapitre 7 – Comment demander

Chapitre 8 – Vers une écoute meilleure

Chapitre 9 – Message reçu

Chapitre 10 – Vers une meilleure prise de contact

Chapitre 11 – Comment aider les autres

Chapitre 12 – Les Anges, les Anges gardiens et les autres

Chapitre 13 – Les Anges et la guérison

Chapitre 14 – Questions et réponses

- Bibliographie -

Bibliographie : Références de l'auteure pour cet ouvrage

 

 

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