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rubrique : "Sérénité" de Michel Pépé -
Album "Les perles du coeur"
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CHAPITRE
IV
«
Ne
résistez
pas
au
mal.
Ne
vous
laissez
pas
émouvoir
par
le
mal,
mais
surmontez
le
mal
par
le
bien.
»
Rien
au
monde
ne
peut
s’opposer
à
une
personne
qui
est
absolument
non-résistante.
Les
chinois
disent
que
l’eau
est
l’élément
le
plus
puissant
parce
qu’elle
est
parfaitement
non-résistante.
L’eau
peut
user
le
roc
et
balayer
tout
devant
elle.
Jésus-Christ
a
dit :
« Ne
résistez
pas
au
mal »,
car
Il
savait
qu’en
réalité
il
n’y
a
point
de
mal,
par
conséquent
aucune
raison
de
résister.
Le
mal
est
sorti
de
la
« vaine
imagination »
de
l’homme,
c’est-à-dire
de
la
croyance
en
deux
pouvoirs,
le
bien
et
le
mal.
D’après
une
vieille
légende,
Adam
et
Ève
mangèrent
le
fruit
de
« Maya
l’arbre
de
l’Illusion »
et
distinguèrent
deux
pouvoirs
au
lieu
du
pouvoir
unique,
Dieu.
Par
conséquent
le
mal
est
une
loi
fausse
que
l’homme
s’est
élaborée
à
cause
d’un
psychome,
ou
sommeil
de
l’âme,
ce
qui
signifie
que
l’homme
a
été
hypnotisé
par
la
croyance
en
le
péché,
la
maladie,
la
mort,
etc.
par
la
pensée
charnelle,
et
que
ses
affaires
et
son
corps
ont
pris
la
forme
de
ses
illusions.
Nous
avons
vu
dans
un
précédent
chapitre
que
l’âme
est
le
subconscient
et
que
tout
ce
que
l’homme
ressent
profondément,
en
bien
ou
en
mal
est
reproduit
par
ce
fidèle
serviteur.
Son
corps
et
ses
affaires
représentent
ce
qu’il
a
imaginé.
Le
malade
a
imaginé
la
maladie;
le
pauvre,
la
pauvreté;
le
riche,
l’abondance.
Les
gens
me
demandent :
« Comment
un
petit
enfant
s’attire-t-il
la
maladie
alors
qu’il
est
trop
jeune
pour
savoir
même
ce
que
cela
signifie
? »
Je
réponds
que
les
enfants
sont
sensibles
et
réceptifs aux
pensées
de
ceux
qui
les
entourent
et
que
souvent
ils
extériorisent
les
craintes
de
leurs
parents.
J’ai
entendu
un
jour
un
métaphysicien
affirmer :
« Si
vous
ne
dirigez
pas
votre
subconscient
vous-même,
quelqu’un
d’autre
s’en
chargera. »
Les
mères
attirent
inconsciemment
sur
leurs
enfants
la
maladie
et
les
désastres
en
les
craignant
continuellement
et
en
guettant
leurs
symptômes.
Une
de
mes
amies,
par
exemple,
demanda
à
une
mère
si
sa
petite
fille
avait
eu
la
rougeole.
Celle-ci
répondit
promptement :
« Pas
encore
! »,
ce
qui
impliquait
qu’elle
s’attendait
à
cette
maladie,
préparant
ainsi
ce
qu’elle
ne
voulait
ni
pour
elle
ni
pour
son
enfant.
Cependant,
celui
qui
est
entré
et
établi
dans
la
vérité,
celui
qui
n’a
que
des
pensées
de
bonne
volonté
envers
autrui
et
qui
est
sans
crainte,
ne
peut
être
atteint
ni
influencé
par
les
pensées
négatives
des
autres.
N’envoyant
que
de
bonnes
pensées,
il
ne
peut
en
recevoir
que
de
bonnes
en
retour.
La
résistance,
c’est
l’Enfer,
car
elle
place
l’homme
dans
un
« état
de
tourment ».
Un
métaphysicien
m’a
donné
un
jour
une
merveilleuse
recette
pour
m’assurer
toutes
les
levées
du
Jeu
de
la
vie :
c’est
le
comble
de
la
non-résistance.
Il
me
dit :
« Il
fut
un
temps
où
je
baptisais
les
enfants
et,
bien
entendu,
je
leur
donnais
de
nombreux
noms.
À
présent,
je
ne
baptise
plus
les
enfants,
mais
je
baptise
les
évènements
et
je
donne
à
chacun
le
même
nom.
Si
je
suis
en
présence
d’un
échec,
je
le
baptise
Succès
au
nom
du
Père,
et
du
Fils,
et
du
Saint-Esprit
! »
Nous
voyons
ici
la
grande
loi
de
la
transmutation,
fondée
sur
la
non-résistance.
Par
sa
parole,
cet
homme
transformait
en
succès
tous
les
échecs.
Voulez-vous
un
autre
exemple
?
Une
dame
qui
avait
besoin
d’argent
et
qui
connaissait
la
loi
spirituelle
de
l’opulence,
était
sans
cesse
obligée
de
rencontrer
en
affaires
un
homme
dont
la
présence
lui
donnait
un
sentiment
de
pauvreté.
Il
parlait
de
pénurie,
de
limites,
elle
se
mit
à
capter
ses
pensées
de
médiocrité.
Elle
en
conçut
de
l’aversion
pour
lui
et
l’accusa
d’être
la
cause
de
ses
échecs.
Cependant,
elle
savait
que
pour
faire
la
démonstration
de
ses
ressources
divines,
il
lui
fallait
d’abord
avoir
le
sentiment
d’avoir
reçu.
Le
sentiment
de
l’opulence
doit
précéder
sa
manifestation.
Brusquement
un
jour,
elle
se
rendit
compte
qu’elle
« résistait » en
distinguant
deux
pouvoirs
au
lieu
d’un
seul.
Elle
s’empressa
alors
de
bénir
l’homme
en
question
et
baptisa
la
situation
« Succès »
!
Elle
affirma :
« Puisqu’il
n’y
a
qu’une
seule
puissance,
Dieu,
cet
homme
est
ici
pour
mon
bien
et
pour
ma
prospérité »
(précisément
ce
qu’il
avait
semblé
ne
pas
être).
Peu
après,
et
par
l’intermédiaire
de
cet
homme,
elle
rencontra
une
personne
qui,
pour
un
service
rendu,
lui
donna
une
très
grosse
somme.
Quant
au
monsieur,
il
partit
pour
une
ville
éloignée
et
s’effaça
sans
heurt
de
sa
vie.
Affirmez :
« Tout
homme
est
un
maillon
d’or
dans
la
chaîne
de
mon
bien »,
car
tout
homme
est
une
manifestation
de
Dieu,
attendant
l’occasion,
donnée
par
lui-même,
de
servir
le
plan
divin
concernant
sa
vie.
« Bénissez
votre
ennemi,
et
vous
lui
dérobez
ses
flèches. » Elles
seront
transmuées
en
bénédictions.
Cette
loi
est
aussi
vraie
pour
les
nations
que
pour
les
individus.
Bénissez
une
nation,
envoyez
des
pensées
d’amour
et
de
bonne
volonté
à
chacun
de
ses
habitants
et
elle
ne
peut
plus
vous
nuire.
Ce
n’est
que
par
l’entendement
spirituel
que
l’homme
peut
comprendre
la
non-résistance.
Mes
élèves
me
disent
souvent :
« Nous
ne
voulons
pas
être
des
paillassons. »
Je
leur
réponds :
« Lorsque
vous
vous
servirez
avec
sagesse
de
la
non-résistance,
personne
ne
pourra
vous
marcher
dessus. »
Voici
un
autre
exemple :
Un
jour
j’attendais
impatiemment
une
importante
communication
téléphonique.
Je
résistais
à
toutes
les
communications
qui
me
parvenaient
et
n‘en
demandais
moi-même
aucune,
de
crainte
de
manquer
celle
que
j’attendais.
Au
lieu
de
déclarer :
« Les
idées
divines
n’entrent
jamais
en
conflit,
cette
communication
viendra
au
bon
moment »,
laissant
la
chose
aux
soins
de
l’Intelligence
Infinie,
je
commençais
à
diriger
moi-même
les
opérations
—
c’est-à-dire
que
je
fis
mienne
la
bataille
alors
qu’elle
appartient
à
Dieu
(« la
bataille
est
à
l’Éternel »)
et
je
restais
tendue
et
anxieuse.
Pendant
une
heure
la
sonnerie
du
téléphone
ne
retentit
pas,
je
m’aperçus
qu’il
était
décroché
et
le
courant
interrompu.
Mon
anxiété,
ma
crainte
et
ma
foi
dans
le
désordre
avaient
eu
pour
résultat
une
éclipse
totale
du
téléphone.
Comprenant
mon
erreur,
je
me
mis
immédiatement
à
bénir
la
situation
et
la
baptisai
« Succès »
en
affirmant :
« Je
ne
puis
perdre
aucune
communication
qui
m’appartient
par
droit
divin;
je
suis
dirigée
par
la
grâce,
et
non
par
la
loi. »
Une
amie
se
précipita
vers
le
plus
proche
téléphone
pour
demander
à la
Compagnie
de
rétablir
le
courant.
Elle
entra
dans
une
épicerie
pleine
de
monde,
mais
le
commerçant
quitta
ses
clients
et
fit
lui-même
la
réclamation.
Mon
téléphone
fut
« rebranché »
et
deux
minutes
plus
tard,
je
recevais
une
communication
très
importante,
suivie,
environ
une
heure
après,
de
celle
que
j’attendais.
Nos
vaisseaux
rentrent
sur
une
mer
calme
(allusion
à un
célèbre
dicton
anglais.
N.T.)
Aussi
longtemps
qu’un
homme
résiste
à
une
situation,
il
la
maintiendra.
S’il
la
fuit,
elle
le
poursuivra.
Je
citais
ceci,
un
jour,
à
une
amie
qui
me
répondit :
« Combien
cela
est
vrai
!
J’étais
malheureuse
chez
moi
étant
jeune
fille,
je
n’aimais
pas
ma
mère
qui
avait
l’esprit
critique
et
autoritaire;
alors
je
m’enfuis
pour
me
marier
—
mais
j’ai
épousé
ma
mère,
car
mon
mari
est
exactement
comme
elle
et
j’ai
retrouvé
la
même
situation. »
Accorde-toi
promptement
avec
ton
adversaire.
Ce
qui
veut
dire :
« Conviens
que
la
situation
est
bonne,
n’en
sois
pas
troublé
et
elle
disparaîtra
d’elle-même. »
« Aucune
de
ces
choses
ne
m’émeut »
est
une
affirmation
excellente.
Une
situation
discordante
provient
d’un
état
discordant
chez
celui
qui
la
subit.
Lorsque
rien
en
nous-mêmes
n’y
fait
plus
écho,
cet
état
disparaît
à
jamais
de
notre
vie.
Nous
voyons
donc
que
nous
avons
surtout
à
travailler
sur
nous-mêmes.
Des
gens
me
demandent :
« Traitez
pour
que
soit
changé
mon
mari
ou
mon
frère. »
Je
leur
réponds :
« Non,
je
vais
« traiter »
pour
que
vous
changiez;
lorsque
vous
changerez,
votre
mari
ou
votre
frère
changeront
aussi. »
Une
de
mes
élèves
avait
l’habitude
de
mentir.
Je
l’avertis
que
cette
méthode
la
vouait
aux
échecs
et
que
si
elle
mentait,
on
lui
mentirait.
Elle
me
dit : « Tant
pis,
je
ne
peux
pas
m’en
empêcher. »
Un
jour
elle
parlait
au
téléphone
à un
homme
dont
elle
était
fort
éprise.
Elle
se
tourna
vers
moi
et
me
dit :
« Je
ne
le
crois
pas;
je
sais
qu’il
est
en
train
de
me
mentir. »
Je
lui
répondis :
« Eh
bien,
puisque
vous
mentez
vous-même,
quelqu’un
doit
forcément
vous
mentir
aussi
et
soyez
bien
persuadée
que
ce
sera
celui-là
même
dont
vous
souhaitez
le
plus
entendre
la
vérité. »
Quelque
temps
après,
elle
m’annonça :
« Je
suis
guérie
du
mensonge. »
—
« Qu’est-ce
qui
vous
a
guérie
? »
questionnai-je.
« Je
viens
de
vivre
avec
une
dame
qui
mentait
plus
que
moi
! »
fut
sa
réponse.
Nous
sommes
souvent
guéris
de
nos
défauts
en
les
remarquant
chez
les
autres.
La
vie
est
un
miroir
et
nous
ne
voyons
en
autrui
que
notre
propre
reflet.
Vivre
dans
le
passé
est
néfaste
et
c’est
aussi
une
violation
de
la
loi
spirituelle.
Jésus-Christ
a
dit :
« C’est
maintenant
le
temps
propice,
le
jour
de
la
Rédemption. »
La
femme
de
Loth
fut
changée
en
statue
de
sel
pour
s’être
retournée.
Le
passé
et
l’avenir
sont
les
voleurs
du
temps.
Il
convient
de
bénir
le
passé
et
de
l’oublier,
de
bénir
l’avenir
dans
la
certitude
des
joies
sans
fin
qu’il
nous
apportera
et
de
vivre
pleinement
le
moment
présent.
Écoutez
ceci :
Une
dame
se
plaignait
à
moi
de
ce
qu’elle
n’avait
pas
d’argent
pour
acheter
des
cadeaux
de
Noël.
« L’année
dernière
c’était
tout
différent :
j’avais
beaucoup
d’argent
et
j’ai
offert
de
beaux
présents,
mais
cette
année
je
n’ai
que
quelques
sous. »
« Jamais,
m’écriai-je,
vous
ne
ferez
une
démonstration
pécuniaire
tant
que
vous
vous
apitoierez
sur
vous-même
et
tant
que
vous
vivrez
dans
le
passé.
Vivez
pleinement
dans
le
moment
présent
et préparez-vous
à
donner
des
cadeaux
de
Noël.
Creusez
vos
fosses
et
l’argent
surviendra. »
« Je
sais
ce
que
je
vais
faire »,
s’exclama-t-elle.
« Je
vais
acheter
du
joli
papier
et
du
cordon
d’argent
pour
envelopper
mes
cadeaux. »
« Faites »,
lui
dis-je,
« et
les
présents
d’eux-mêmes
viendront
se
placer
dans
vos
emballages ».
Cette
fois
encore,
c’était
la
preuve
de
courage
et
la
foi
en
Dieu
car
la
raison
conseillait :
« Garde
chacun
de
tes
sous,
tu
n’es
pas
sûre
d’en
recevoir
d’autres. »
Ma
consultante
fit
ce
qu’elle
avait
dit,
et,
quelques
jours
avant
la
Noël,
reçut
un
don
très
généreux.
L’achat
du
papier
et
du
cordon
avait
impressionné
cette
expectative
qui
avait
ouvert
la
voie
à la
manifestation
de
l’argent.
Mon
amie
eut
tout
le
temps
nécessaire
pour
acheter
ses
cadeaux.
Vivre
le
moment
présent
est
essentiel.
« Vis
pleinement
ce
jour
!
Voilà
le
Salut
de
l’Aurore. »
L’homme
doit
être
spirituellement
en
alerte,
toujours
à
l’affût
de
ses
intuitions,
ne
laissant
passer
aucune
occasion.
Un
jour,
je
répétais
sans
cesse
(silencieusement) :
« Esprit
Infini,
ne
me
laisse
pas
manquer
une
levée »,
et
quelque
chose
de
grande
importance
me
fut
révélé
le
même
soir.
Il
est
très
nécessaire
de
commencer
la
journée
avec
des
paroles
de
vérité.
Dès
le
réveil,
faites
cette
affirmation.
Par
exemple :
« Que
Ta
volonté
soit
faite
aujourd’hui
!
Aujourd’hui
est
une
journée
de
réalisations;
je
rends
grâces
pour
cette
parfaite
journée,
les
miracles
se
succèdent
et
les
prodiges
ne
cessent
pas. »
Faites
de
ceci
une
habitude
et
vous
verrez
les
miracles
et
les
prodiges
se
dérouler
dans
votre
vie.
Un
matin,
j’ouvris
un
livre
et
lus :
« Regarde
avec
émerveillement
ce
qui
est
devant
toi
! » Il
me
sembla
que
c’était
mon
message
du
jour,
et
je
le
répétai
sans
cesse « Regarde
avec
émerveillement
ce
qui
est
devant
toi
! »
Vers
midi,
une
grosse
somme
d’argent
me
fut
donnée
que
j’avais
désirée
dans
un
certain
but.
Dans
un
prochain
chapitre
j’indiquerai
des
affirmations
qui
ont
donné
les
meilleurs
résultats.
Cependant
nous
ne
devons
jamais
nous
servir
d’une
affirmation
à
moins
qu’elle
ne
satisfasse
pleinement
notre
propre
conscience
et
qu’elle
ne
nous
paraisse
absolument
convaincante;
souvent
une
affirmation
sera
modifiée
pour
convenir
à
certaines
personnes.
L’affirmation
suivante
a
apporté
la
réussite
à
bien
des
gens :
« J’ai
beaucoup
de
travail,
Divinement
donné,
Je
sers
de
mon
mieux
Et
je
suis
fort
bien
payé. »
Je
donnai
les
deux
premiers
vers
à
une
de
mes
étudiantes
et
elle
ajouta
les
deux
derniers.
Cela
constitue
une
très
puissante
affirmation,
car
il
doit
toujours
y
avoir
un
paiement
parfait
pour
un
service
parfait
et
d’autres
part,
il
est
facile
de
faire
pénétrer
des
vers
dans
le
subconscient.
Mon
élève
se
mit
à
les
chanter
tout
en
vaquant
à
ses
occupations
et
bientôt
l’affirmation
se
transforma
en
manifestation.
Un
autre
de
mes
élèves,
homme
d’affaires,
s’en
empara
et
substitua « affaire » au « travail ».
L’après-midi
de
ce
même
jour,
il
fit
une
affaire
des
plus
brillantes,
bien
qu’il
n’y
ait
pas
eu
d’activité
depuis
des
mois
dans
sa
partie
!(1).
——————
(1)
À
l’intention
de
nos
lecteurs
qui
lisent
l’anglais,
nous
donnons
cette
affirmation
telle
qu’elle
est
dans
le
texte :
Chaque
affirmation
doit
être
soigneusement
composée
et
doit
exprimer
tout
ce
qui
est
nécessaire,
car
j’ai
connu
une
personne
dans
le
besoin
qui
cherchait
du
travail.
Elle
en
trouva
beaucoup
mais
ne
fut
pas
payée.
Elle
pense
maintenant
à
ajouter :
« Je
sers
de
mon
pieux
et
suis
fort
bien
payée. »
L’abondance
est
un
droit
divin
de
l’homme !
Il a
droit
à la
surabondance !
« Ses
granges
doivent
être
pleines
et
sa
coupe
déborder ! »
Voilà
l’idée
de
Dieu
pour
l’homme,
et
lorsque
celui-ci
brisera
les
barrières
de
la
pénurie
formées
dans
sa
propre
conscience,
l’Age
d’Or
luira
pour
lui
et
chacun
de
ses
désirs
légitimes
sera
exaucé ! |